Parmi tous les moments sportifs, je choisis sans hésitation une expérience récente personnelle : la finale de Roland-Garros 2024 entre Carlos Alcaraz et Alexander Zverev. Ce match a été pour moi la réalisation d'un rêve depuis mon enfance. J'ai toujours suivi la compétition avec passion devant la télévision, et Roland-Garros occupait pour moi "ma quinzaine en juin", un rendez-vous immanquable. Cette année, j'ai eu la chance de vivre cette expérience en direct et de vibrer au rythme des échanges entre Alcaraz et Sverev pendant 4h19. La victoire d'Alcaraz, en tant que BIG fan de ce jeune prodige de 21 ans, au mental et détermination hors du commun, avec son attitude humble et fair play, son sourire … , a été l’apothéose de cette journée magique. VAMOS !

Un pain brioché bien moelleux et légèrement doré et croustillant.

Avec des légumes pour la fraicheur et du Brie considéré comme « la Reine » des fromages.

Une purée d’avocat, une sauce salsa maison relevée à base de tomate, poivrons, oignon et piment, de la mâche, des jeunes pousses germées, des radis et pommes granny smith venant agrémenter le steak de bœuf parfumé au poivre.

L'Islande sans hésiter pour la force brute de sa nature et ses paysages spectaculaires  : ses glaciers immenses, ses volcans actifs, ses cascades, ses geysers, ses sources d’eaux chaudes, ses fjords, ses plages de sable noir, ses champs de lave, ses aurores boréales, ... L'Islande offre une variété de paysages à couper le souffle. L’Islande, c’est une terre de feu et de glace, où l’on sent toute la force de la nature. La lumière est aussi unique et très particulière en Islande avec de longues journées en été et des nuits bleues en hiver.

Au travail, au restaurant, en famille, à la télévision... On remarque qu'il y a de vraies divergences dans la façon dont on parle des hommes et des femmes. Encore plus quand on parle des femmes de plus de 50 ans ! Ces dernières subissent la double peine. On a l'impression que passé cet âge, les femmes n'existent plus : car plus assez belles, plus assez productives, bref, plus assez bien.

La représentation des femmes de plus de 50 ans dans la société reste un sujet controversé, souvent marqué par des stéréotypes et une invisibilité relative.

Malgré des avancées vers l'égalité des sexes, les médias et l'industrie de la mode tendent à privilégier la jeunesse, laissant souvent de côté les femmes plus âgées. Ce phénomène reflète une valorisation culturelle de la jeunesse et de l'apparence physique, au détriment de l'expérience et de la sagesse que ces femmes apportent.

En comparaison, les hommes de plus de 50 ans jouissent généralement d'une image plus positive, souvent perçus comme charismatiques, expérimentés et dignes de respect.

Cette disparité souligne une double norme de genre où l'âge accentue la valeur sociale des hommes, tandis qu'il diminue celle des femmes.

Le corps d'une femme de 50 ans n'a rien d'extraordinaire du tout. "(...) Elles sont invisibles"., c'est ce qu'a littéralement déclaré Yann Moix au magazine Marie-Claire qui interrogeait le quinquagénaire (sic) sur son rapport aux femmes.

Une déclaration qui a provoqué - et heureusement - un tollé sur la toile.

Car elles sont nombreuses, sur tapis rouge et dans les rues, les femmes qui, à cinquante, soixante, et plus de soixante-dix printemps, rayonnent peut-être plus encore que dans leurs "jeunes années", arborant avec grâce cette assurance et cette expérience qui sont le bienfait des années. Sans parler de celles qui affichent des courbes à faire pâlir d'envie leurs benjamines. Invisibles ? Allons donc.

De plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer cette discrimination et promouvoir une représentation plus diversifiée et inclusive, mettant en avant des modèles de rôles féminins variés qui embrassent l'âge avec fierté et authenticité.

J'espère qu'à l'avenir, hommes et femmes deviendront des alter ego, tout en exprimant leurs différences. Car je pense que si nous sommes capables de faire les mêmes choses, nous sommes quand même différents et je regrette que nous les femmes soyons trop souvent dans l'imitation de comportements masculins. Si on arrêtait enfin de vouloir imiter les hommes, on pourrait exprimer notre puissance féminine qui s'avérera peut-être totalement distincte de la leur. Si l'égalité entre les sexes est basée sur la singularité de chacun, la complémentarité, on y gagnera tous. Libérons-nous tous ensemble et on s'amusera davantage.